Devenu la coqueluche de Twitter et d’Instagram depuis quelques temps, Alex Caruso s’apprête à vivre une année charnière dans sa carrière. Sa saison, son joueur préféré… Le meneur s’est livré.
Après deux saisons passées avec des contrats « two-way », lui permettant de faire des allers-retours entre la NBA et la G-League, Alex Caruso a signé cet été son premier contrat exclusivement NBA. Deux ans et 5.5 millions de dollars, pour un joueur tournant à 9.2 points par match le tout à 48% derrière l’arc. Pas mal.
Alors pour se préparer à cette nouvelle saison pleine d’objectifs pour des Lakers armés pour le titres, le meneur a travaillé sur son jeu, et aussi changé de look. De quoi créer de l’attente chez les fans, mais pas que :
J’ai de grandes attentes pour moi même et je pense que si je prends mes responsabilités sur chacune de ces attentes, rien ne sera impossible pour moi cette année.
Alex Caruso devrait être un élément important dans la rotation des hommes Frank Vogel. Son efficacité de loin et son intelligence de jeu en font un coéquipier idéal. Et s’il ressort des performances comme celle face aux Clippers (32 points, 10 rebonds, 5 passes), pourquoi ne pas déloger Rajon Rondo de son poste de titulaire ?
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Interrogé par le site HoopsHype, le meneur des Lakers en a également profité pour révéler l’identité du joueur préféré de son enfance. Et le jeune Alex devait être loin de se douter à l’époque qu’il évoluerait un jour à ses côtés.
Quand j’étais jeune, LeBron James était LE gars. Il était surnommé « The Chosen One » (l’élu de dieu), et pour une bonne raison. C’est un bon joueur de basket et il était fun à regarder. Le voir jouer en grandissant et maintenant être son coéquipier, c’est vraiment cool.
Le jeu d’Alex Caruso, et surtout sa maîtrise presque parfaite du catch and shoot, colle d’ailleurs parfaitement au style de son idole de jeunesse.
C’est un tellement bon passeur… C’est l’aspect le plus sous coté de son jeu. Les gens l’oublient parce qu’il est vraiment dominant physiquement. Mais je sais que dès qu’il a le ballon il peut me le lancer. Je dois être prêt.
Prêt, Alex Caruso doit l’être non seulement pour réceptionner les caviars du King, mais aussi pour cette saison marathon que tous les fans des Lakers espèrent voir se terminer en juin, trophée en poche.