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Deuxième journée d’entraînements, et nouveaux enseignements pour les Lakers. Avec notamment le joueur qui saute aux yeux de Frank Vogel.
Le media day passé, les Lakers se sont mis au boulot avec une première batterie d’entraînements. Si Dwight Howard s’est directement fait remarquer, c’est bel et bien tout l’effectif qui cherche à trouver ses marques en cette période de reprise.
Lors de la première session, Frank Vogel avait d’ailleurs testé un premier 5, s’accommodant évidemment de l’absence de Kyle Kuzma, toujours out à cause de sa blessure au pied.
Ce dimanche, c’est une autre line-up qui a été tentée par le technicien, avec une particularité : aucun meneur de métier. Les joueurs ? LeBron James, Avery Bradley, Kentavious Caldwell-Pope, Anthony Davis et Dwight Howard.
D’après ESPN et sans grande surprise, ce 5 a largement dominé les remplaçants. De quoi donner des idées à Vogel pour la saison à venir ? Il est encore bien trop tôt pour le dire.
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Ce qui peut être affirmé, en revanche, c’est que l’une des nouvelles recrues tire son épingle du jeu. En effet, toujours selon ESPN, Vogel a affirmé que Avery Bradley était la grosse surprise de ce début de camp, et que tous les joueurs parlaient de lui.
En délicatesse la saison dernière chez les Clippers puis les Grizzlies, Bradley est surmotivé à l’idée de relancer sa carrière. Son jeu offensif pourrait coller à cette first unit, avec des tirs ouverts qui seront fatalement disponibles, et on ne présente plus son excellente défense.
Bien évidemment, la lineup utilisée par Vogel aujourd’hui relègue Rajon Rondo au banc de touche, sans oublier l’absence de Kyle Kuzma. Vous l’aurez compris, le nouveau coach des Angelinos va avoir de sacrés casse-têtes pour trouver la meilleure formule et la faire accepter de tout le monde.
Difficile de l’imaginer s’en plaindre, tant tout ça semble être des problèmes de riche pour l’ancien tacticien d’Indiana.
Bref, ça usine dur du côté des Lakers, et certains commencent déjà à gentiment montrer qu’il sera difficile de leur piquer leur place. Une compétition saine pour une équipe surmotivée, voilà ce que veut Frank Vogel.
