puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
Alors qu’il est en pleine rééducation suite à sa rupture au tendon d’Achille, John Wall s’est exprimé sur son avenir pour The Athletic.
John Wall vit sans aucun doute la période difficile de sa carrière. Le Wizard s’est rompu le tendon d’Achille, sans doute la pire blessure pour un basketteur, en tombant chez lui en février dernier.
Le début d’une longue galère pour le joueur dont le futur est de plus en plus remis en question dans la capitale. En effet, son contrat plombe les finances de la franchise et les Wizards ne seraient pas contre trouver un nouveau point de chute à leur meneur.
Cependant, John Wall souhaiterait lui rester toute sa carrière dans la franchise qui l’a drafté en première position en 2010, comme il l’a expliqué au micro de Michael Lee de The Athletic :
Je ne suis pas de ceux qui veulent jouer pour plusieurs équipes. Je veux jouer pour une seule organisation. En fin de compte, qu’on me donne l’occasion de revenir, pas cette année, mais l’année prochaine, et si je ne joue pas bien, vous m’échangez. Je ne pourrai être en colère contre personne parce qu’ils m’auront donné l’occasion et j’aurai eu la chance de faire mes preuves. C’est tout ce que je demande.»
Lire aussi | Quelle répercussion pour D’Angelo Russell avec la resignature de Draymond Green ?
Le joueur rejette en tous cas toute idée de demande de transfert des Wizards. Wall veut clairement rester, et c’est à la franchise de savoir s’ils veulent le garder ou non. Il ne fera donc pas ce forcing, et ce même si les résultats de la franchises sont encore décevants :
Vous ne m’entendrez jamais demander un trade. La seule façon pour moi d’être échangé de D.C. est qu’ils veuillent m’échanger eux-mêmes.
Avant sa blessure, John Wall tournait à de bonnes moyennes avec 20.7 points ( à 44% au tir dont 30% de loin) 8.7 passes et 3.6 rebonds et 1.5 interception en 32 matchs disputés.
Si le joueur n’est pas exempt de tout reproche sur son comportement depuis qu’il évolue dans la capitale, on ne peut pas lui enlever qu’il est sincèrement attaché à sa franchise. Chose qui devient de plus en plus rare en NBA.
