En arrivant dans la ligue, Donovan Mitchell s’est rapidement fait une nouvelle appelation : « Spida ». Mais ce n’est pas la première fois que le joueur hérite d’un surnom, ses anciens coéquipiers l’ayant déjà renommé à l’université.
Un surnom est une marque spéciale pour un joueur NBA. Dans le cas de Donovan Mitchell, c’est actuellement « Spida », dont les origines divergent, mais qui aurait été donné pour la première fois par un père présent lors d’un match du joueur alors qu’il était encore adolescent. Avant d’être repris dans la Grande Ligue.
Ce que l’on sait moins, c’est que la star du Jazz avait déjà un premier surnom avant celui-ci. À l’université de Louisville, lors de sa première année, Donovan était appelé : « Sliders ». Son ancien coéquipier, Damion Lee, raconte pourquoi :
À l’entraînement, Donovan était dans la deuxième équipe. Quand on est dans la deuxième équipe, on a plus de liberté que les gars de la première équipe. Donovan était le meilleur joueur de l’autre équipe.
On l’appelait « Sliders », parce que c’était comme lorsque vous jouez à NBA 2K et que vous réglez les sliders du jeu jusqu’à 99 ou 100.
Genre : « Qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce qu’il fait ce mec ? Il est partout, il fait des passes folles, il dunke sur les gars »
Un premier surnom qui a dû lui rappeler de bons souvenirs à son arrivée en NBA, puisque le jeune joueur a procuré plus ou moins le même effet dans la ligue.
Drafté en 13ème position, l’arrière s’est immédiatement imposé lors de son débarquement à Salt Lake City. Il s’est montré ultra-dominateur et a même convoité le titre de rookie de l’année en 2018, finalement obtenu par son grand concurrent Ben Simmons.
Aujourd’hui, ce surnom de « Sliders » a donc laissé place à celui de « Spida », ou l’homme-araignée. Et il le porte à merveille, jusque dans sa propre collection de chaussures signature. Un sympathique clin d’oeil que les fans découvraient il y a quelques mois.
Que ce soit « Sliders » ou « Spida », les deux surnoms font preuve d’une grande domination de Donovan Mitchell, à l’université comme en NBA. C’est mérité.