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Retiré des parquets NBA, Deron Williams s’est reconverti dans le business d’un autre sport qui le passionne. Lequel ? Un indice : Ron Artest (enfin MWP) serait parfait pour la discipline, s’il n’était pas aussi ingérable.
Parmi les reconversions intéressantes, on vous présente celle de Deron Williams. Le meneur, 3ème choix de la Draft 2005 et triple All-Star, n’a plus été vu sur un parquet depuis la saison 2016-2017. Mais il s’est apparemment fait à l’idée qu’il ne reviendrait pas, en se lançant dans une autre discipline : le MMA.
L’ancien joueur est maintenant co-propriétaire d’une salle d’arts martiaux mixtes à Dallas. Il a raconté à Daniel Vreeland de FloCombat qu’il devait cette passion pour les sports de combat à son ancien assistant-coach aux Mavericks :
Je suis originaire de Dallas et quand je suis retourné jouer pour les Mavericks en 2015, j’ai appris que l’un de mes entraîneurs adjoints, Jamahl Mosley, était un gars qui pratiquait le jiu-jitsu.
Nous avions parlé de notre passion pour le MMA et le jiu-jitsu. Il m’a dit : « Tu devrais venir faire un gala privé avec moi et ce coach avec qui j’ai travaillé. »
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J’ai commencé à prendre des cours privés avec Sayif Saud, le fondateur de Fortis MMA, juste pour l’amour du sport, juste pour l’entraînement.
À l’époque, je ne le savais pas, mais il travaillait à l’ouverture de Fortis. Après six mois d’entraînement et on est devenus amis et il m’a dit : « Laisse-moi te montrer quelque chose.
Il m’a emmené chez Fortis. Ils n’avaient pas de tapis en bas, ils travaillaient encore sur les finitions, les douches et d’autres choses comme ça, mais on pouvait voir sans problème tout l’espace s’assembler.
Je savais à quel point il était un bon coach et j’avais appris à connaître certains des combattants de l’époque.
Je me suis dit : « Comment puis-je faire partie de tout ça ?
Deron Williams a donc connu un véritable coup de foudre pour une discipline qu’il a découverte assez tard. Et d’une tardive passion est finalement née une opportunité professionnelle. : propriétaire d’une salle de combats.
Typiquement le genre de reconversion très louable chez nos joueurs NBA. Si certains se laissent complètement aller une fois le maillot déposé, d’autres comme Deron Williams ou par exemple Danny Granger n’hésitent pas à se lancer dans de nouveaux métiers.
