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Depuis quelques mois, Bronny James, le fils de LeBron James ne cesse de faire parler de lui. En plus de faire le buzz auprès des fans, le jeune joueur commence à attirer l’œil des scouts. Et pour l’un d’entre eux, le potentiel du jeune homme est bien réel.
Impossible d’y échapper ces derniers mois dans le petit monde de la balle orange. Bronny James, le fils du King, impressionne pour son âge (14 ans).
Alors qu’il a récemment collé un dunk plein de rage sous les yeux d’un LeBron James devenu fou, le fiston du King montre surtout qu’il a du talent plein les mains, et une certaine classe d’avance sur ses camarades.
Forcément, quand vous êtes le fils d’un légende NBA, les regards se posent sur vous et chacune de vos performances est scrutés. Associez à ça un talent certain, et les meilleurs scouts du pays vont se pencher sur votre cas. Et visiblement, le rejeton du King impressionne aussi les recruteurs :
« Je ne l’ai pas encore évalué de près », a déclaré le scout Corey Evans, qui commencera à examiner attentivement toute la classe de 2023 cette année. « Mais d’un simple coup d’œil, il a réalisé des progrès importants au cours de la dernière année sur le plan de l’ensemble des aptitudes, de l’amélioration en tant qu’athlète et de l’augmentation de sa taille et de sa force. Je n’aime pas me projeter quatre ou cinq ans à l’avance, mais à l’heure actuelle, tout porte à croire qu’il est définitivement un client potentiel pour la NBA. »
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Mike Jones, head coach au lycée DeMatha Catholic et coach de Team USA junior, apprécie lui la mentalité de Bronny. Le jeune joueur a, comme son père, l’envie de faire briller ses coéquipiers, une chose rare pour son âge :
« [Bronny] a la capacité de bien jouer, pour ce qui est de passer le ballon et de jouer avec d’autres bons coéquipiers », a déclaré Jones.« Beaucoup de jeunes de son âge ont des difficultés avec cela. Ils sont tellement bons qu’ils ont besoin d’avoir la balle entre les mains. Il a pu se développer, un peu comme son père, étant capable de jouer avec d’autres très bons joueurs. C’est une compétence qui, à mon avis, est sous-appréciée. »
S’il est encore trop tôt pour réellement se projeter sur un futur en NBA ou non pour Bronny, il montre qu’il a bien hérité des gènes de son père, que ce soit sur le plan athlétique ou du QI basket. Le Young King possède une vraie compréhension du jeu alors que certains jeunes joueurs ont besoin de plus de temps pour acquérir cela.
Comme son père, Bronny James attire les lumières. Et son association au lycée Sierra Canyon avec Zaire Wade, le fils du légendaire numéro 3 du Heat, sera au centre de toutes les attentions outre-Atlantique. Si le talent est bien présent, le plus dur reste à faire pour Bronny, qui devra écrire sa propre histoire et se libérer de l’ombre de son père.
