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Avant même d’être tradé direction les Lakers, Anthony Davis avait fait de New York une destination préférentielle. Des négociations ont bien eu lieu avec les Pelicans, mais elles ont rencontré un obstacle de taille.
Maintenant qu’Anthony Davis est bien un Laker, l’intérieur a enfin pu choisir son numéro de maillot. Le 23 lui a semblé longtemps destiné jusqu’à ce que Nike place son veto. Il faudra donc attendre un an avant devoir Davis porter ce numéro sous la tunique des pourpres et or.
Quoi qu’il en soit il reste un joueur des Lakers, ce qui aurait pu être différent il y a encore quelques semaines.
Car quand un joueur comme Davis est sur le marché, il y a logiquement du beau monde pour le courtiser. Les Lakers étaient là, mais les Knicks aussi. La franchise new yorkaise, bien avant de se prendre un mur lors de la free agency, avait un faible espoir d’attirer Davis.
Faible, car les atouts manquaient considérablement, encore plus lorsqu’on voit la contrepartie déboursée par les Angelinos aujourd’hui.
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Ces négociations n’ont de plus pas été facilitées par le fait que les Knicks n’étaient pas prêts à tout pour recruter Davis. Ce dernier semblait avoir une préférence pour la ville de Los Angeles malgré tout. Alors les dirigeants ont hésité à placer un joueur de l’effectif dans les tractations : Mitchell Robinson.
Le pivot était le seul à être intouchable d’après Ian Begley de SNY et au final, Perry et Mills ont refusé d’inclure le jeune joueur dans le deal.
Qu’on se le dise tout de suite, sa présence n’aurait probablement rien changé. Mais de ne pas l’inclure n’a probablement pas aidé. Robinson sort d’une prometteuse saison rookie où il tournait à 2.4 contres (!) de moyenne, 7.3 points et 6.4 rebonds. Il est sans conteste un joueur avec un bel avenir s’il poursuit sa progression.
Pas étonnant donc de voir les Knicks refuser de l’échanger, surtout pour un avenir assez incertain avec Davis.
Espérons désormais pour New York que Mitchell Robinson poursuive sur sa lancée.
