Sur le terrain ou sur Twitter, Patrick Beverley n’arrête jamais de parler. Et cette fois, c’est un fan des Lakers qui en prend pour son grade !
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Patrick Berveley ne passe pas inaperçu cet été. Entre les rumeurs l’envoyant aux 4 coins des Etats-Unis, sa prolongation et ses échanges avec les fans, difficile de ne pas entendre parler de Pat plus d’une journée.
En effet, le meneur a décidément la langue bien pendue. Après avoir répondu à un peu tout et n’importe quoi cet été sur le réseau au petit oiseau, il décide maintenant de sortir les crocs lorsque l’on parle des Clippers.
Le Bulldog n’a pas hésité à remettre en place un fan des Lakers, après que ce dernier ait titillé Pat sur un de se précédents tweets :
U must have been sleep for the past 2 years. Yal ok with big stars and still losing. Makes me question your character. Happy 4th my guy. https://t.co/0egAcQw68e
— Patrick Beverley (@patbev21) 4 juillet 2019
Internaute : Les Clippers ont une Nation ? Je pensais que c’était l’équipe réserve de LA ? Vous n’avez pas de Nation quand vous n’avez jamais passé les demi-finales de la conférence
Beverley : Tu dois avoir dormi ces 2 dernières années. Vous avez de grandes stars et vous continuez à perdre. Ça me fait me questionner sur toi. Joyeux 4 juillet mon gars.
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Ce fan des Lakers a taquiné Beverley sur un sujet souvent mis sur la table quand on parle des Clippers : les demi-finales de conférence. La franchise n’a effectivement jamais passé ce stade de la compétition depuis 1970.
Pique un peu facile, mais c’est de bonne guerre entre les deux formations rivales de Los Angeles. Les Clips ne se gênent d’ailleurs pas pour rappeler aux fans des Lakers que, ces dernières années, c’est bien la franchise de Steve Ballmer qui règne sur la Cité.
Les deux équipes se tirent également la bourre cet été sur le marché des agents libres. En effet, le très désiré Kawhi Leonard, qui tarde à donner sa réponse, a coché ces deux franchises dans sa liste pour être sa potentielle destination.
Les Clippers se réjouissent, en tout cas, d’avoir pu garder leur chien fou cet été, gardant la même ossature que l’équipe surprenante de l’an passé, et garantissant un mentor de choix pour le jeune Shai Gilgeous-Alexander.
Toujours prêt à aboyer quand il le peut, Pat Beverley n’a une nouvelle fois pas déçu. Avant de vous attaquez à la Clippers nation, il faudra désormais y réfléchir à deux fois !