Contrairement à bon nombre de free agents dans cette intersaison complètement folle, Danny Green fait partie de ceux qui n’ont pas encore décidé où aller. Le joueur a cependant parlé avec plusieurs franchises.
Alors que la NBA croule sous les bombes envoyées par Adrian Wojnarowski ou autre Shams Charania, personne ne sait où donner de la tête dans cette free agency.
Pour Danny Green, ce n’est pas un problème. Le tout récent champion NBA avec les Raptors est arrivé au terme de son contrat et a l’air bien décidé à prendre la bonne décision, peu importe le temps que cela prendra.
Blake Murphy de The Athletic rapporte que le joueur serait actuellement en discussion avec quatre franchises, ajoutant qu’il a été patient durant tout le processus de la free agency :
Danny Green said on Yahoo IG Live that he spoke with Lakers, Clippers, Raptors, and Mavericks today. « Being patient, man. Being patient. »
— Blake Murphy (@BlakeMurphyODC) 1 juillet 2019
(Original had Spurs, confirmed that was not case, bad feed, apologies again. Reposting so that doesn’t get run.)
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Danny Green a dit sur Yahoo IG Live qu’il a parlé avec les Lakers, les Clippers, les Raptors et les Mavericks aujourd’hui.
« Être patient, mec. Être patient. »
À 32 ans, Danny Green arrive à un moment de sa carrière où il vaut mieux ne pas faire d’erreurs. Conscient qu’il est encore un joueur important dans la ligue actuelle, il va chercher le plus gros contrat possible. Il en avait récemment parlé dans une récente entrevue avec Alex Kennedy de Hoops Hype :
Je pense que c’est le moment où j’ai besoin de maximiser les dollars sur le plus grand nombre d’années que je peux faire.
Idéalement, J’aimerais vraiment prendre quatre ans. Mais, évidemment, j’ai 32 ans maintenant, donc certaines équipes peuvent ne pas vouloir offrir un contrat de quatre ans. Mais j’aimerais un contrat de trois ou quatre ans.
Avec deux bagues et une sélection dans la NBA All-Defensive Second Team en 2017, Green avance avec de solides arguments sur le CV. C’est un excellent tireur de loin doublé d’un bon défenseur, ce que recherchent beaucoup d’équipes actuelles.
Les franchises sont prévenues : il faut avoir un minimum de cap space pour convaincre Danny Green de venir. À suivre.