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Officiellement agent libre cet été après avoir décliné sa player option, Jimmy Butler n’est pas encore certain de rester à Philadelphie. Si sa franchise veut le conserver, il devrait écouter ce que les autres ont à dire.
Avec les blessures de Klay Thompson ou bien sûr Kevin Durant, d’autres gros agents libres pourraient devenir des premiers choix pour la free agency à venir. Déjà dans le haut du panier avant ces nouvelles, Jimmy Butler est un nom qui pourrait prendre de l’ampleur dans les semaines à venir.
L’ailier a décliné sa player option dans la journée d’hier et nombreuses sont les franchises à s’intéresser au joueur.
Parmi elles, les Lakers. Nous vous en parlions déjà hier, mais les Angelinos comptent bien faire les yeux doux à Jimmy Buckets dans le but de l’associer à LeBron James. Hasard ou non, Butler avait déjà teasé les fans de la Cité des Anges il y a quelques jours. Si une signature est encore loin d’être acquise, une réunion devrait probablement avoir lieu entre les deux partis pour tenter de trouver un accord.
Mais la concurrence sera bien là pour l’un des gros agents libres de l’été.
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Tim Reynolds vient d’ajouter une nouvelle franchise dans les discussions pour l’ailier : le Heat de Miami. La franchise floridienne veut se renforcer en vue de la saison prochaine et elle pourrait bien tenter de convaincre Butler de les rejoindre.
Jimmy Butler has told confidants that if Miami wants to talk on or after June 30 he would certainly – and happily – listen, according to a person with knowledge of the situation.
— Tim Reynolds (@ByTimReynolds) 14 juin 2019
(Of course, the “how would Miami have the $$$” portion of this equation remains most unclear.)
Si Butler serait manifestement heureux d’écouter le pitch de la franchise, un problème de taille s’oppose : l’argent. Le Sixer voudra un contrat max et le Heat est dans le rouge niveau finance. Hassan Whiteside ($27 millions), Goran Dragic ($19 millions), James Johnson ($15 millions) ou encore Dion Waiters ($14 millions) plombent le salary cap de la franchise. Un trade dans les semaines à venir, et possiblement avant la draft, est alors obligatoire.
Le Heat veut revenir sur le devant de la scène à l’Est, mais les finances pourraient garder les floridiens à l’ombre pendant encore quelques saisons.
