Plutôt discret ces derniers temps, LaVar Ball est sorti de sa boîte pour faire une nouvelle déclaration audacieuse sur ses trois fils.
Dans l’ambiance chaotique régnant actuellement aux Lakers, un homme n’avait pas encore fait sa sortie médiatique, mais c’est maintenant corrigé. LaVar Ball, plus discret qu’il y a deux saisons, continue à faire avancer sa marque Big Baller Brand, malgré le départ de son fils Lonzo chez Nike.
Le meneur des Lakers, annoncé comme un top player par son paternel, fait son petit chemin à Los Angeles sans pour autant crever l’écran. Lonzo Ball a un potentiel évident, mais encore beaucoup de choses à perfectionner dans son jeu. A commencer par ce fameux tir si particulier, dont les taux de réussite ne sont pas terribles (38% de réussite en carrière).
Avec une intersaison très mouvementée à venir du côté du Staples Center, on ne sait pas encore si l’avenir du meneur sera en Californie ou bien ailleurs.
Pour ce qui est des deux autres frères Ball, le cadet LiAngelo Ball évolue dans la ligue créée par son père au sein des Los Angeles Ballers, tandis que le plus petit LaMelo Ball est retourné sur les parquets du lycée pour suivre un cursus plus classique.
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Si les trois frères n’apparaissent pas comme les trois phénomènes annoncés par leur père, ce dernier ne perd pas espoir, comme en témoigne cette déclaration recueilli par Slam Magazine :
Mes enfants seront les premiers milliardaires à jouer sur le terrain. J’ai d’autres choses à faire pour y parvenir.
Peu importe pour quoi mes garçons jouent, ce sera de la petite monnaie. Vous n’aurez pas de gars qui feront ça. Ils veulent tous remporter un championnat, puis leur propre équipe, de plus gros contrats.
Une prédiction osée de la part du père de famille, qui semble miser sur le développement exponentiel de sa marque BBB pour faire pleuvoir les billets. Du côté des fils, Lonzo Ball n’a pas encore confirmé en NBA, on voit mal LiAngelo parvenir dans la grande Ligue, quant au dernier LaMelo, le potentiel est là mais saura-t-il confirmer au niveau universitaire puis professionnel, cela reste à voir.
Si ce n’est pas par le biais des contrats, LaVar Ball compte bien transformer ses fils en machine à cash, reste à savoir comment il compte s’y prendre.
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