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Présent hier pour la présentation de Frank Vogel, LeBron James se plaît à Los Angeles. Malgré le dysfonctionnement de la franchise en interne, le King n’aurait pas l’intention de quitter rapidement la cité des anges.
En quittant Cleveland, une franchise alors dysfonctionnelle et un propriétaire omniprésent, LeBron James ne s’attendait probablement pas à rejoindre une franchise encore pire dans ce domaine : les Lakers. La franchise californienne souffre de beaucoup de problèmes en interne. Que ce soit la recherche d’un coach, le GM, la confiance abusive de Jeanie Buss, rien ne va vraiment chez les Angelinos en ce moment et il serait temps de remettre un peu d’ordre avec une hiérarchie bien définie.
Magic Johnson a fait le point hier et il n’a d’ailleurs pas hésité à critiquer l’organigramme de la franchise.
Alors forcément, quand LeBron James se trouve au milieu de ce marasme, on peut se poser quelques questions sur le futur du King. Il reste deux ans de contrat – trois avec sa player option – au natif d’Akron et la gagne semble obligatoire la saison prochaine. On peut cependant soumettre des réserves et se demander si de gros agents libres voudront rejoindre un tel bazar.
Peut-être que LeBron pourra justement les rassurer, lui qui se plaît à Los Angeles.
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En effet c’est Joe Vardon qui donne quelques nouvelles du King à Los Angeles et ce dernier n’aurait pas l’intention de partir sous peu. Ce n’est pas forcément étonnant, mais cela ne fait pas de mal aux fans des Lakers de le savoir :
Il est tellement heureux de vivre à Los Angeles. Sa famille également. Bronny va au collège et c’est là que la famille veut être. LeBron ne veut pas jouer ailleurs. Je serai surpris que d’ici la fin de sa carrière, tant que Bronny soit au collège, qu’il demande à jouer ailleurs. Il veut que ça marche.
LeBron se plaît donc aux Lakers et se voit passer quelques années – et pourquoi pas le reste de sa carrière – à Los Angeles. Il est cependant important de rappeler que le King ne possède pas de veto contrairement à ses années à Cleveland. Si les dirigeants décident donc de le trader dans les années qui arrivent, il n’aura pas son mot à dire.
Pour l’heure, rien ne laisse penser qu’un tel scénario arrivera, mais à Los Angeles, on ne sait jamais.
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