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Le néo-General Manager des Pelicans David Griffin a pu compter sur sa bonne étoile cette nuit. Et le pire, c’est que c’est loin d’être la première fois.
Vous êtes une franchise en reconstruction et vous êtes à la recherche d’un first pick ? Faites appel à David Griffin. Le General Manager de New Orleans a encore pu compter sur sa chance insolente à la Lottery. Oui, « encore ». C’est en effet la 4ème fois sur ses 5 dernières participations que David Griffin obtient le first pick. A peine croyable.
L’ex-GM des Cavaliers avait beaucoup contribué à la construction de la franchise de l’Ohio, puisqu’il leur a ramené 3 first picks en 4 ans (2011, 2013, 2014). Celui de 2011 s’est transformé en Kyrie Irving, celui de 2014 en Andrew Wiggins – ce dernier a été directement envoyé à Minnesota contre Kevin Love. Dans ce trade figurait aussi un certain Anthony Bennett, 1er de la Draft… 2013 !
Ces coups de chance à répétition auraient de quoi rendre superstitieux l’homme le moins croyant du monde. Alors comment expliquer une telle réussite ? Le GM répond (non sans humour) que la recette du succès pourrait résider… dans sa cravate !
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David Griffin des Pelicans explique comment il a obtenu une cravate porte-bonheur par Jeff Cohen des Cavaliers pour qu’Alvin Gentry la porte afin de gagner le tirage de la Lottery de Draft NBA 2019 et la possibilité de drafter Zion Wiliamson. La cravate a maintenant gagné 4 loteries.
Comme on peut l’entendre, Griffin est convaincu qu’«il n’existe pas de totem porte-bonheur», mais il voulait tout de même que la cravate l’aide à faire pencher la balance en sa faveur. Mission accomplie.
La chance de David Griffin couplée à celle des Pelicans ont porté leurs fruits. La dernière fois que NOLA a obtenu le first pick, c’était en 2012, l’année d’un certain Anthony Davis. Avec Zion Williamson cette année, on ne peut pas dire que New Orleans manque à l’appel lorsqu’il s’agit de drafter des phénomènes.
Superstition ou non, toujours est-il que David Griffin peut ajouter un nouveau first pick à son tableau de chasse. Encore un peu, et la cravate aura sa place dans un musée…
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