NBA – Kevin Durant absent une bonne partie des finales de conférence ?

D’ores et déjà forfait pour le reste de la série contre Houston, Kevin Durant pourrait voir son absence se prolonger davantage. Un soucis pour les Warriors.

C’était la grosse nouvelle du jeudi soir : Kevin Durant ne refoulera pas les parquets durant la série face aux Rockets. Excellent depuis le début des playoffs, KD va laisser un vide du côté des Warriors, qui vont devoir la jouer old-school et revenir à l’équipe championne en 2015, basée sur son duo de Splash Brothers.

Golden State mène actuellement 3-2 dans sa demi-finale de conférence contre Houston, et les hommes de Steve Kerr ont deux matchs pour plier l’affaire et sortir les Rockets une deuxième fois d’affilée.

Si c’est le cas, il y a cependant fort à parier que les Dubs ne pourraient pas compter sur Kevin Durant lors des premiers matchs de la finale de conférence. Pourquoi ? Depuis la saison 2005-2006, la durée moyenne de l’absence des joueurs touchés par une élongation au mollet se situe autour de 2 semaines.

A lire également : Steph Curry réagit à la blessure de KD

Si KD est dans cette moyenne (ce qui n’est évidemment pas une certitude), son retour se ferait probablement autour du Game 3 ou 4 des finales de conférence. On imagine cependant que le joueur et la franchise vont tenter de le remettre sur pied au plus vite, tant il est précieux à cette équipe de Golden State depuis le début de la post-season.

Dans la nuit, Steve Kerr a donné les dernières nouvelles au sujet de son ailier, et il s’est montré plutôt optimiste :

Bien sûr, nous déplorons qu’il ne puisse pas jouer la fin de cette série. Il a déjà eu ce genre de blessures, et son corps a bien réagi. Si nous atteignons les finales de conférence, on a l’espoir de le récupérer dans un futur pas trop lointain.

Une source d’inquiétude dont se seraient bien passés les Warriors, qui se sont néanmoins donnés un peu d’air en venant à bout de Houston dans le Game 5. Mais les Rockets n’ont pas dit leur dernier mot.

Mais aussi : Tony Parker : « C’est parfois dur de se lever le matin à Charlotte »