Bientôt âgé de 3 ans, Ayden Batum, fils du joueur des Hornets, est encore loin de pouvoir suivre les traces de son père. Néanmoins, Nicolas fait tout ce qui est en son pouvoir pour que son fils réussisse, quitte à faire preuve d’un peu de superstition. Explications.
Toujours à Charlotte où il se montre récemment beaucoup plus précieux après un début d’exercice plutôt terne (9.8 points, 5.2 rebonds, 3.4 passes et une interception par match dans l’ensemble), Nicolas Batum porte toute son attention sur sa famille quand il n’est pas sur les parquets.
En avril 2016, Nicolas Batum a en effet vu arriver son premier fils avec sa compagne Aurélie. Une situation qui a rendu le joueur un peu superstitieux, notamment lors de la naissance de Ayden ou même lorsqu’il s’agit de choisir son école maternelle.
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Effectivement, comme Stephen Curry, le petit Ayden grandit pour l’instant à Charlotte, et fréquente la même école maternelle que le Splash Bro en son temps. Quant à la « bénédiction » de MJ, qui a passé sa main de GOAT sur le ventre d’Aurélie Batum, force est de constater que ça ne peut être que de bon augure.
Avec tant de paramètres, Nicolas Batum plaisante sur le fait que son fils ne puisse que devenir un grand champion dans le basketball, mais plaisante-t-il vraiment ? En 2017, déjà, le Frenchy faisait faire des passes décisives à son rejeton, alors âgé d’un an seulement :
Après Nicolas, un autre Batum aura-t-il la chance de fouler les parquets NBA ? Réponse dans une vingtaine d’années.
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