En plus d’être joueuse, Valériane Ayayi sert aussi d’intermédiaire entres les médias et ses coéquipières de l’équipe de France. Bien qu’étant internationales, toutes les joueuses ne maîtrisent pas la langue de Shakespeare à la perfection.
C’est le cas pour Sarah Michel ou encore Olivia Epoupa qui, comme nous l’apprend le quotidien L’Equipe, ont recours à l’aide d’Ayayi pour s’entretenir avec le journaliste chargé de rédiger en anglais les compte-rendus des matchs féminins pour la FIBA. En effet, à l’inverse de la nouvelle recrue de Villeneuve d’Ascq passée en WNBA l’année dernière, Epoupa ou encore Michel n’ont pas encore vécu d’expériences à l’étranger. Or ces séjours se révèlent généralement formateurs sur le plan sportif mais aussi linguistique.
Ainsi, si la jeune ailière de 22 ans s’illustre de plus en plus sur les parquets, elle semble aussi tenir une place importante en dehors du terrain. De plus, en cas de reconversion professionnelle, nul doute qu’un poste en tant que traductrice pourrait lui être proposé au sein de notre rédaction, bonne idée n’est-ce pas ?