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En juin 2013, Frédéric Forte, Président du Limoges CSP décidait de se séparer de Panagiotis Giannakis pour faute grave. Ce dernier avait décidé de prendre la sélection nationale de Chine et avait même quitté la France avant la date des joueurs et, donc, des entraineurs. Le coach suspendu décidait, suite à ce licenciement, de mettre le CSP aux prud’hommes.
Ce matin, les deux parties se sont retrouvées devant le tribunal des Prud’hommes de Limoges. L’avocat de Giannakis était absent et s’était fait remplacé par une représentante qui a demandée le renvoi de l’affaire à une date ultérieure. Cette dernière a été débouté malgré qu’elle ne connaisse pas les faits. L’affaire a, donc, été plaidée. Giannakis a huit jours pour argumenter par écrit et fournir le contrat chinois traduit. La décision du tribunal des prud’hommes sera rendue publique le 1er juillet.
